Oddný Eir

Née en 1972, Oddný Eir Ævarsdóttir a obtenu un doctorat à l’université de la Sorbonne et a également mené des recherches dans le domaine des musées islandais. Ses activités artistiques sont nombreuses : elle est l’auteur de trois romans autobiographiques, a traduit et édité des œuvres littéraires, a organisé des évènements d’arts visuels et a dirigé un espace d’arts visuels à New York et à Reykjavík (Dandruff Space), en collaboration avec son frère archéologue, Uggi Ævarsson. Ensemble, ils dirigent la maison d’éditions Apaflasa (Monkey Dandruff).

Halldóra K. Thoroddsen

Halldóra Thoroddsen est née en 1950 et vit à Reykjavik. Elle est diplômée en 1976 de l’ancien collège des enseignants d'Islande (Kennaraháskólareitur), aujourd’hui intégré à l’université d’Islande, et en 1986 de l'Académie des arts d'Islande. Elle a travaillé en tant qu'enseignante et directrice d'un programme radio, en plus d'avoir été concepteur pour la mise en page d'un journal et d'avoir supervisé le programme artistique pour les écoles élémentaires. Elle écrit des poèmes, des nouvelles, des micronouvelles et des romans.

Ófeigur Sigurðsson

Poète et écrivain, Ofeigur Sigurdsson est né à Reykjavik le 2 novembre 1975. Il a publié six livres de poésie et deux romans. Il a essayé un peu de tout : il a travaillé comme veilleur de nuit dans un hôtel, dans une unité de pré-emaballage de jambon et lard dans une ferme-usine, fait de la musculation en tant que manœuvre portuaire avant d’enfin exercer son cerveau comme étudiant au Département de philosophie de l’Université d’Islande où il a passé sa license de philosophie en 2007 avec une thèse sur le tabou et la transgression dans les œuvres de Georges Bataille.

Sigrún Pálsdóttir

L’autrice et historienne Sigrún Pálsdóttir est née à Reykjavík en 1967. Elle obtient son doctorat en histoire des idées à l’Université d’Oxford en 2001, après quoi elle est chargée de recherches et maître de conférences à l’Université d’Islande. Elle se lance comme écrivaine freelance en 2007 et édite entre 2008 et 2016 le journal Saga, la principale revue d’Histoire islandaise à comité de lecture. Pálsdóttir s’illustre initialement comme autrice de biographies historiques.